L’Afrique écrit une nouvelle page de l’histoire mondiale.
Pour la première fois, le G20 se tient sur le sol africain, avec l’Afrique du Sud à l’honneur pour accueillir ce grand rendez-vous international regroupant les puissances économiques du monde.

Malgré l’absence remarquée des États-Unis, largement commentée par les médias internationaux, le sommet a bel et bien eu lieu. Le Président Cyril Ramaphosa, dans son discours d’ouverture, a insisté sur « la valeur du multilatéralisme » et a annoncé qu’un consensus avait déjà été trouvé entre les pays membres.

🌍 Un sommet porteur d’une nouvelle stratégie mondiale

Ce G20 africain a pour ambition de :

Réaffirmer le rôle du multilatéralisme, malgré les tensions géopolitiques.

Proposer une démarche unifiée face aux crises mondiales : économie, sécurité, paix, climat.

Donner une nouvelle place au continent africain dans les décisions globales.

Pour beaucoup d’analystes, ce sommet marque un tournant : l’Afrique n’est plus seulement spectatrice, mais un acteur incontournable de l’équilibre mondial.

❓ Le multilatéralisme peut-il encore produire des résultats ?

Dans un monde traversé par les conflits, les divergences politiques, et les boycotts — comme celui déjà évoqué par Donald Trump dans ses déclarations — la question se pose.

Ce G20 en Afrique tente d’apporter une réponse :
👉 Oui, le multilatéralisme peut fonctionner lorsque les nations acceptent de prioriser l’intérêt collectif sur les rivalités.

Ce sommet démontre que, même dans un contexte tendu, le dialogue reste possible et que l’Afrique peut jouer un rôle catalyseur pour rapprocher les positions